Le monde du travail est vaste et diversifié. Plusieurs domaines voient le jour dans le but d’améliorer le système de production. Le portage salarial fait partie des nouvelles conceptions innovatrices dans le domaine du travail. Né depuis quelque temps en France, il attire déjà la majorité des jeunes entrepreneurs et salariés. Effectivement, le portage salarial est à mi-chemin entre entrepreneuriat et salariat.
Les avantages du portage salarial
Dans le domaine du travail, il n’y a rien de plus sûr et satisfaisant que de travailler pour soi-même. Le domaine de la freelance attire de plus en plus de monde en connaissance de ce point de vue. Le portage salarial est aussi une opportunité sécuritaire de travail. Salariat et associés ont chacun leur avantage au sein de cette nouvelle forme d’emploi. Une assurance sur la retraite, la mutuelle et la prévoyance est d’office le premier avantage de chacun. Les risques de chômage s’amenuisent. De plus, le premier mois de production est directement rémunéré, surtout pour assurer la facture. Le portage salarial vous offre un excellent gain de temps pour divers domaines (sociales, juridiques, comptables, etc.). Vous augmenterez également vos connaissances sur le réseau du portage salarial et des formations vous seront toujours suggérées. Au sein du portage salarial, votre profil aura plus de crédibilité auprès des sociétés sérieuses de ce fait, vous serez engagés en toute simplicité.
Les inconvénients du portage salarial
Comme tout concept, le portage salarial présente des inconvénients. Puisque ses fonctionnalités sont très intéressantes, des frais de gestion sont appliqués aux membres. Ce coût est d’environ 10 % de votre bénéfice. Il est réglementé par l’article L.1254-2.-1 qui décrit que « le salarié porté justifie d’une expertise, d’une qualification et d’une autonomie qui lui permet de rechercher lui-même ses clients et de convenir avec eux des conditions d’exécution de sa prestation et de son prix ». Les charges générées par le portage salarial sont quelque peu plus élevées comparées aux autres statuts indépendants. Plus précisément, elles sont d’environ 50 % pour le salarié et 41 à 45 % pour l’entrepreneur (SASU ou SARL).